Prélèvements de sangliers : un record national qui interroge
Derrière ce chiffre impressionnant se cache une réalité bien connue des agriculteurs, des forestiers et des gestionnaires d’espaces naturels. Le sanglier, espèce particulièrement adaptable, colonise désormais tous types de milieux : littoraux, zones montagneuses, plaines céréalières ou encore espaces périurbains. Son expansion rapide entraîne une pression accrue sur les cultures et les écosystèmes.
Un coût économique majeur
Un défi durable
Les clôtures : la barrière la plus efficace mais aussi la plus coûteuse
La clôture demeure l’une des solutions les plus fiables pour empêcher physiquement les sangliers d’accéder aux cultures. Qu’il s’agisse de clôtures électrifiées ou renforcées, leur efficacité est connue. Toutefois, leur installation nécessite :
un investissement financier important,
un entretien régulier,
et une surveillance accrue dans les zones difficiles (bordures boisées, reliefs accidentés).
Bien que très efficaces, ces installations ne sont pas toujours adaptées à toutes les situations, notamment dans les grandes parcelles ou les milieux naturels sensibles.
Les effaroucheurs sonores : une aide technologique en plein essor
Pour compléter ou remplacer les clôtures, de nombreux exploitants se tournent vers les effaroucheurs sonores. Ces dispositifs émettent des sons irréguliers ou agressifs (bruits d’alerte, signaux électroniques, ultrasons puissants) destinés à perturber et repousser les sangliers.
Parmi ces solutions, les effaroucheurs commercialisés par Repzen se distinguent par leur approche innovante : horaires de fonctionnement programmables, diversité des sons et des ultrasons, autonomie renforcée et capacité à couvrir de grandes surfaces. Leur principal atout réside dans la variabilité des signaux, évitant que les sangliers ne s’habituent aux bruits — un phénomène bien connu des professionnels.
Des solutions complémentaires pour une stratégie globale
D’autres méthodes préventives viennent également renforcer la protection des cultures :
répulsifs olfactifs à base de matières naturelles ou synthétiques,
gestion des haies et milieux à proximité des parcelles pour limiter les zones de refuge,
piégeage encadré dans certains contextes,
Aucune de ces méthodes n’est parfaite isolément, mais leur combinaison offre de bien meilleurs résultats. L’enjeu n’est plus seulement de repousser ponctuellement les sangliers, mais de mettre en place une stratégie globale capable d’agir en prévention tout au long de l’année.
